Cette fois ci je vais vous parler de Michael Ehart. Cet auteur préside au destinée d'une série de sword and sorcery qui comprend une petite dizaine de nouvelles. Cette série "la servante de la Manthychore" a pour cadre la Mésopotamie antique à l'époque des royaumes sumeriens et akkadiens. Son héroïne a été maudite par la Mathychore et condamnée à l'immortalité elle doit nourrir le monstre semi divin en lui procurant des corps et des âmes (généralement corrompues, les âmes, je veux dire). Le plus cher désir de Ninshi l'héroïne est d'être délivrée de sa malédiction et de retrouver son bien aimé qui est lui aussi affligé de la même charge. Au cours de ses pérégrinations, Ninshi fait la connaissance d'une jeune esclave Miri qu'elle va affranchir et adopter. Six des nouvelles de cette série ont été réunie en reccueil dont quatre précédemment publiées par le webzine Sword Review. Mais Ehart continue a conter les aventures de son héroïne notamment dans les colonnes de Flashing Swords ainsi que dans divers magazine small press. Bien que n'ayant lu que quelques unes de ces histoires, je souhaite que très prochainement un éditeur français s'y intéresse. Il s'agit sans doute d'une des plus belles créations de la sword and sorcery moderne. Michael Moorcock ne s'y est d'ailleurs pas trompé. Ehart est un de ses chouchous du moment.
My best babel fish assisted lousy translation:
"I will speak to you about Michael Ehart. This author governs the destiny of a series of sword and sorcery which includes ten short stories. This series “The Maidservant of the Manthychore” has as a framework ancient Mésopotamia at the time of the kingdoms of the Sumeriens and Akkadians. Its heroine was cursed by the Manthychore and condemned to immortality, she must feed the semi-divine monster by getting bodies and hearts to him (generally corrupted, the hearts, I want to say).
The dearest desire of Ninshi, the heroine, is to be freed of its curse and to find her lover who is also cursed. During her travels, Ninshi meets a young slave girl, Miri, whom she will frees and adopts.
Six tales of this series were joined together in order including four previously published by the webzine Sword Review. But Ehart continues to tell the adventures of its heroine, in particular in Flashing Swords and in various similar magazines. Although having read only some of these stories, I wish that very soon a French editor might be interested in it. It is undoubtedly one of most beautiful creations of the modern sword and sorcery. Michael Moorcock was not mistaken there. Ehart is one of the pets of the moment."